Gallimard, folio, 2021, 116p.
Un beau matin, Anouk décide d'abandonner la ville canadienne, son boulot trop prenant, ses luttes écologiques, ses révoltes, ses copains trop citadins et intégrés. Elle part "s'encabaner" dans un coin reculé du Kamouraska, avec pour toute compagnie un chat errant et une souris aventureuse. Le froid terrible, la solitude, le manque de confort, le fait d'être coupée de la société ... au jour le jour, elle écrit et décrit son quotidien, ses pensées les plus intimes jusqu'au jour où sa solitude est dérangée.
Une langue savoureuse, le québecois, et des considérations écologiques sauvent ce tout petit roman dont le début m'avait laissée assez indifférente. Finalement, j'ai bien aimé !
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