Editions Milan, coll. Macadam, 2010, 210 p., 9€50
Merci à M. Rippert d'avoir écrit le titre en français et de résister à l'hégémonie anglo-saxonne ! Grand mot mais réalité omniprésente ;o)
Lorsque Luce rentre chez elle, après sa journée au lycée, elle trouve la maison vide. Sa mère lui a laissé un mot sur la table : son journal l'envoie en Australie pour 4 mois, Luce devra se débrouiller toute seule assouvissant, à l'occasion, son désir d'indépendance.
Il est vrai que les relations mère/fille sont tendues mais de là à laisser sa fille de 16 ans gérer son quotidien, Luce a du mal à comprendre. La jeune fille va s'organiser cahin-caha, mûrir et découvrir enfin la vérité sur sa mère.
Metal mélodie a réveillé en moi des souvenirs de mère d'adolescente pas si lointains et, bien que l'intrigue soit peu crédible, la description des sentiments de la jeune fille m'a convaincue, parce qu'elle met bien en évidence toutes les contradictions de cet âge. Age maudit que j'ai vu s'éloigner avec OH combien de soulagement pour ma part !
Mais attention : "metal mélodie" n'est pas un roman gnangnan sur l'adolescence, il y a une première fois qui ne se passe pas très bien, un amour passion chaleureusement décrit, de la consommation de drogue et
d'alcool ... à ne pas mettre entre toutes les mains en collège, à partir de la 3e.
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