Folio, 366 p., Gallimard 2020
Trop c'est trop ! Ces roses qui prolifèrent partout, envahissent tout, à l'odeur si prégnante qu'elle en devient écœurante et qu'on retrouve presque à chaque chapitre ... elles m'ont lassée. Comme dit la chanson de Prévert de Gainsbourg : Peu à peu je m’indiffère !
Carole Martinez reste Carole Martinez qui sait si bien parler des femmes et de leurs destins si lourds, des femmes espagnoles. Le roman plaira à certain(e)s sûrement, moi je l'ai terminé épuisée pourtant j'avais beaucoup aimé ses romans précédents notamment "le cœur cousu".
Prêté par Hélène.
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