Un enfant, orphelin de mère et abandonné par son père, découvre la magie de la lecture et de l'écriture ... Élevé par sa tante et son grand-père, entouré d'hommes brutaux et frustes, l'adolescent s'évade en lisant, jusqu'au jour où ayant épuisé tous les textes qui l'entourent, il se met à écrire.
Et ce faisant, sauve la vie des habitant de son village qui compte un nombre de centenaires inhabituel.
Une belle métaphore sur les pouvoirs de la littérature, libérateurs, curateurs, qui aident à se connaitre soi même, à accepter les autres etc.
Mais je suis, hélas, insensible au style de Kamel Daoud, trop métaphorique pour moi, trop touffu et finalement trop riche. Ses textes m'étouffent et j'y perds mon souffle ... je finis en lisant en diagonale.
Je le déplore d'autant plus, que l'auteur est quelqu'un de vraiment bien, engagé, sincère, honnête et partageant des valeurs humanistes.
Heureusement, il n'attend pas après moi ;o))
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire